Aaron Kosloff } Admin

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Tout commence ici...
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Nom & Prénom : Malgré ses origines, papa et maman on tenu a ce que leur premier rejeton jouisse d'un prénom anglophone, ce fut donc Aaron, choisit par Madame, et Kosloff par Monsieur.

Âge : Déjà vingt et une années, son visage nous incite tantôt à penser moins, tantôt à penser plus. Encore la preuve qu'il ne faut guère accorder d'importance aux apparences!

Sexe : Son prénom ne permet pas l'ombre d'un doute, cependant, un coup d'œil vers l'intéressé et vous serez fixé. C'est un charmant représentant de la gente masculine que Mère Nature a offert à ce monde et pourtant, bien des gens ce seraient passer de ce présent!

Spécialité : Après plusieurs journées d'intenses réflexions, c'est avec un léger sourire qu'il alla remplir la case de sa spécialité par un "psychologie" longuement réfléchi. La complexité humaine l'avait toujours intrigué, et après avoir hésité avec le journalisme et le droit, c'est vers la médecine de l'âme qu'il s'était tourné sans plus aucunes hésitations. Pour l'option, nul besoin de chercher midi à quatorze heures. La musique. La musique, et rien que la musique. Plus qu'un hobby, une passion.

Nationalité : La consonance de son patronyme vous met déjà au parfum. Fier de sa personne et de sa partie, Aaron défend corps et âme sa Russie natale, qu'il décrit comme le plus beau pays du monde, rien que ça...

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Je n'aurai plus aucun secrets pour vous
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Physique :

Deux hommes attendaient, aussi anxieux l'un que l'autre, dans la salle d'attente de l'hôpital Holy Hope (Святая надежда). A l'annonce d'un petit garçon, deux cœurs s'emplirent de joie, en ressortant de la chambre, l'un des deux fût brisé. L'adultère aurait eut un goût amère dans la bouche du mari de Ludmilla. Sa femme l'ayant trompé, leur amour avait surmonté l'incident, mais à l'annonce d'un "heureux évènement" à venir, Vladimir avoua à sa femme qu'il ne pourrait vivre avec un enfant qui n'était pas de lui. Lorsque les deux hommes pénétrèrent dans la chambre, l'estomac noué, c'est avec un grand soulagement que l'époux de Ludmilla remarqua le teint d'albâtre de l'enfant que berçait sa femme. Avec des yeux compatissants, elle regarda son amant espagnol. Sa peau caramélisée tranchait avec la pâleur intense qui régnait dans la pièce. Des murs blancs, un sol blanc, un bébé plus blanc encore que la neige. Il fallait se rendre à l'évidence, ce bébé n'était pas le sien. Sans un mot, il sorti, pour ne plus jamais revenir. Au fil des années, Aaron conserva ce teint hérité de son cher papa, et c'était d'ailleurs cela qu'on remarquait toujours la première fois qu'on le rencontrait. Sa peau contrastait très souvent avec les pays exotiques qu'il visitait. Cet air quelque peu vampirique ne lui donnait guère un air chaleureux, et lorsqu'il clôturait le tout d'un air suffisant, comme à son habitude, nul n'avait envie de l'approcher. Le jeune russe avait prit pour habitude de ne laisser transparaitre aucun sentiment sur son visage. Montrer ce que l'on ressentait c'était comme indiquer à l'ennemi où cela faisait mal. Sa bouche, fine et rose givrée, n'indiquait, le plus souvent, qu'une sensation d'agacement. Elle s'étirait par fois pour gratifier le monde d'un sourire ironique. Son regard s'accordait bien souvent à ses lèvres. Ses yeux couleur de pluie tantôt mystérieux, tantôt moqueurs avaient le don de faire passer les gens pour des moins que rien. Avec de tels yeux - si... froids! - il était fort aisé de se montrer supérieur. Et Aaron ne manquait jamais une occasion de le faire savoir aux autres. Ses cheveux, le plus souvent en "bataille disciplinée", tombaient pour cacher son front blanc et lui barraient quelque peu la vue en s'étalant pareil à un rideau chocolat, car telle était la couleur de ses cheveux. Le jeune homme aimait les contrastes, c'est d'ailleurs pour cela qu'il s'habillait avec des tons sombres. Bien que conscient que cela augmentait son coté sinistre et vampirique, il détestait les teintes trop claires, le faisant d'avantage ressembler à un vulgaire cachet d'aspirine ou à un paquet de lessive bon marché qu'à un être humain. Étant une personne on peut plus fière, Aaron avait de la prestance. Loin d'être superficiel, mais désireux de ne pas ressembler à un feignant sortant du lit, il avait été élevé en se tenant droit et la tête haute. Cette habitude n'avait pas disparu. Mais par envie de solitude, on voyait de temps à autre le crâne du jeune russe fixer ses chaussures italiennes comme pour signifier au monde extérieur "Je ne suis pas disponible pour le moment, et je ne le serai sûrement jamais pour toi!". On ne voyait pas vraiment en lui quelqu'un de beau. Plus quelqu'un de glacial, froid, solitaire, et ce n'était guère une apparence encline à la séduction. Aaron n'avait que faire de cela, de toutes façons. Bien qu'étant un charmeur, elles venaient bien (trop) souvent à lui. Et le fait qu'il soit si salopard avec la gente féminine n'alimentait que plus leurs fantasmes. Allez comprendre les femmes... Aaron n'aimait point passer pour une personne négligée, mais s'étudier plus d'une dizaine de minutes dans une glace, très peu pour lui. Certes il ne se trouvait pas repoussant, mais son regard ne faisait que s'orienter vers une chose : cette cicatrice tracée au creux de sa joue droite.

Caractère :

Lunatique, s'il ne fallait dire qu'un mot afin de décrire Aaron. Tour à tour, parfait gentilhomme, et salopard d'exception, il a le don pour faire devenir chèvre son entourage. Tantôt rieur, tantôt grave, ses sautes d'humeurs agacent le plus souvent, et le classent bien vite dans la catégorie des "chieurs". Très secret sur sa personne et sa vie, il reste quelqu'un de mystérieux qui ne se dévoile jamais entièrement, et ses changements de comportements lui permettent de se cacher derrière une façade. Manquant cruellement de confiance en soi, bien qu'il ne le laisse transparaitre, Aaron a toujours eut peur d'être abandonné. Le passé est la fondation de ce que nous sommes au présent, et une seule question est à poser à Aaron, que c'est-il passé? Mais croyez vous franchement qu'il vous répondra? Très solitaire, mais aussi méfiant, il n'accorde pas sa confiance facilement, autant dire que ceux sur qui il peut compter se compte sur les doigts de la main. Mais ne dit-on pas qu'il ne faut point confondre quantité et qualité? Bien que n'étant pas la perfection incarnée, il arrivait à Aaron de se conduire comme un crème, c'était rare, certes, mais possible, et cela se produisait lorsqu'il était avec les bonnes personne.
Très fier, de sa personne et de son pays, le jeune russe prenait parfois des airs supérieurs, et à l'aide d'une pique bien salée, il envoyait bouler les autres. Le plus souvent marginal, il était néanmoins fêtard, c'était d'ailleurs lors d'une fiesta californienne qu'il avait rencontré Nelly! Coureur de jupons et charmeur d'exception, Aaron se jouait des filles qu'il séduisait, et n'éprouvait jamais aucun sentiment amoureux. Il pouvait vraiment être infecte s'il le voulait, et aimait jouer ce rôle d'emmerdeur pour ne pas avoir à se justifier ou parler trop de sa personne.
Une carapace d'acide pour un cœur d'or, mais fallait-il encore le prouver... D'un calme olympien, Aaron raisonnait toujours avant de prendre une solution, mais cela ne l'empêchait pas de choisir l'option violence. très impressionnant lorsqu'il est énervé, on préfère se tenir à distance si l'on ne veut pas subir les frasques de son mécontentement. Romantique et passionné, il lui arrive d'arrêter son rôle de temps à autre pour être ce qu'il est vraiment, quelqu'un de simple.
Têtu et borné, le jeune russe déteste avoir tort, trop fier pour reconnaitre qu'il fait erreur, il préfère détourner l'attention, user de l'humour noir ou de l'ironie, pour ne pas avoir a admettre qu'il à tout faux. Serein à l'extérieur mais bouillonnant à l'intérieur, Aaron est très rancunier. Une mémoire d'éléphant, il n'oublie jamais rien et ne pardonne pas facilement, encore un défaut à rajouter à cette longue liste!

Histoire :

Généralement, on ne fait pas un enfant tout seul, du moins, on essai! Aaron ne fait pas exception à la règle. Ludmila et Vladimir s'étaient rencontrés en Écosse. Tous deux russes, ils avaient échangé dans leur langue maternelle dès leur première rencontre. Très différents l'un de l'autre, elle, fêtarde et passionnée, lui, serein et romantique. Ces deux là c'étaient trouvés, se complétaient. Seulement, Ludmilla allait souvent voir ailleurs, et oui, qui l'eut crut, la preuve que ce n'est pas toujours l'homme le parfait coureur de jupons dans un couple. Vladimir ne le sut jamais, jusqu'au jour où il l'a prit la main dans le sac (si on peu dire que c'était la main...). Autant dire que surprendre sa petite amie dans les bras d'un autre ne l'enchanta pas, bien au contraire. Pour Vladimir, s'en était fini. Son histoire, sa vie, tout était fichu. Amoureux, il l'était. Dévasté? Aussi... Il reparti pour la Russie s'isoler dans le cocon familial. Ludmilla ne réalisa qu'après le départ de son amant, son importance. Prenant le premier vol pour Elista, elle réussit à convaincre Vlad de la reprendre, c'était sans compter un léger détail, un bébé. Vladimir était catégorique, s'il n'était pas de lui, il l'a quitterait sans pré-avis.

La suite, vous la connaissez, c'est un garçon plus pâle que son cher papa qui naquit. Mais un enfant ne répare pas tout. Ludmilla n'avait point changé, certes, plus sage elle était, mais dès que son époux partait en voyage d'affaire, elle s'éclipsait . Jonglant entre son existence de mère au foyer, et d'allumeuse des boites de nuit, elle mena cette double vie pendant six longues années. Et deux ans après la naissance d'Aaron, elle mit au monde une petite fille répondant au doux nom d'Ophélia. L'écart d'âge entre elle et Aaron étant mince, elle se révéla être la parfaite confidente pour un grand solitaire comme lui. Les frasques de sa mère, quant à elles, reprirent de plus belle, après la naissance de la sœur d'Aaron. Mais à trop jouer avec le feu on se brûle.

Un de ses sulfureux amants n'avait pas accepté la fâcheuse habitude de Lumdilla, à savoir, les abandonner bien vite. Après de nombreuses menaces il s'en était prit à Aaron, et si son père n'était pas rentré de voyage plu tôt, il ne serait peut-être pas là. Depuis ce jour, le jeune homme éprouve un profond respect envers son père, ainsi qu'une grande admiration. Il avait toujours été son modèle, mais après l'incident, il s'était révélé comme son sauveur. Aaron et lui nouèrent un véritable relation père/fils dont Ludmilla fut totalement exclue. Cette dernière cessa net ses petites activités nocturnes, mais il était déjà trop tard.

Les parents d'Aaron divorcèrent l'année suivante pour le plus grand bonheur d'Aaron qui en avait assez de toutes leurs disputes incessantes. Mais au plus grand étonnement de tous leurs proches, les parents du jeune russes continuèrent d'habiter ensemble. Comme deux bons amis, ce qu'ils auraient toujours dut être. Depuis ce jour, la vie à la maison devint bien plus agréable, pour Aaron comme pour ces parents. Plus aucunes scènes, plus aucunes crises, rien que des blagues et autres sorties en famille. Bien que plus réticent avec sa mère, Aaron s'adapta bien vite à sa nouvelle vie et n'en était que plus heureux! Le seul aspect négatif de sa nouvelle vie était, sans aucune hésitation, l'argent. Son père, riche avocat en faisait parfois un peu trop, si bien que de nombreuses années après, Aaron ne supporta plus ce coté "hyper friqué" et préféra partir à l'université sans un sou en poche.