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 Nelly B. Mathiews } Admin

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Nelly B. Mathiews
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Nelly B. Mathiews


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MessageSujet: Nelly B. Mathiews } Admin   Nelly B. Mathiews } Admin Icon_minitimeJeu 16 Juil - 22:04


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    ________________________
    Tout commence ici...
    ________________________

    Nom & Prénom : Nelly Brooke Mathiews
    Âge : 19 ans
    Sexe : Féminin
    Spécialité : Cinéma
    Nationalité : Californienne, bien que son teint pâle ne le laisse guère présager.

    ___________________________________________
    Je n'aurai plus aucun secrets pour vous
    ___________________________________________

    Physique : On m'a souvent dit que j'avais un port de tête remarquable, et que c'est ce que l'on voit en premier chez moi, avant même mon visage. Objectivement, je ne suis pas spécialement laide - je n'ai pas d'affreux boutons partout, ou des cheveux gras. Cependant, je ne suis pas pour autant belle. On m'a dit que je l'étais, mais ces personnes-là le disent aussi à des filles qui sont... Franchement pas des canons. Comme tout un chacun, j'imagine, je n'aime pas mon apparence. Des épaules trop larges, des seins trop plats, je trouve. À part ça, j'ai la peau super pâle, vous savez, le genre de peau, tu la mets au soleil, tu la retrouves cramée, toute rouge. Trop la galère. J'ai des yeux turquoise, assez grands, aux cils assez longs mais trop droits, qui jurent - selon moi - avec mes cheveux noirs. Cheveux que je teins d'ailleurs souvent d'auburn, enfin, ça dépend de mon humeur. Niveau corps, mis à part mon manque de poitrine et mes épaules trop larges, ça va. Pilosité pas trop développée, pas de cellulite sur les jambes ou le ventre, des fesses un peu trop plates... Bref, j'aimerai bien être un peu plus pulpeuse, mais forcément, on a jamais ce qu'on veut. Mes mains... J'ai arrêté de me ronger les ongles il y a une semaine, mais je craque souvent. J'ai déjà essayé d'arrêter, malheureusement, je n'y arrive pas. Mes doigts, je les aime bien. Ils sont fins, assez droits. Bref. Niveau façon de se tenir, je suis souvent cambrée, épaules rejetées en arrière (elles paraissent plus fines, comme ça). Pour ce qui est des vêtements, soit c'est rock, soit c'est néogothique et rock : j'adore ces accessoires , ces couleurs... Et enfin le make-up, du smoky, du smoky, et encore du smoky : ça met mes yeux en valeur, et c'est rock. J'ai également une petite cicatrice, à l'épaule. Quatre petits traits rosés, dûs aux ongles de ma soeur, qui m'a aggripée une fois, lors d'une de nos disputes... Eh oui, on est sauvages, dans la famille.
    Caractère : J'étais quelqu'un de désagréablement ordinaire, mais je le vivais bien. Intelligence trop médiocre pour être une très bonne manipulatrice, j'étais toutefois une femme. En cette raison, j'avais un minimum vital de rouerie et de ruse. En ce point, je n'arrivais pas à la cheville de Monsieur X. Auparavant naïve, ce qui s'était passé le jour où j'avais renoncé à ma soeur m'avait ôté toute confiance en le genre masculin. J'étais assez cynique, pudique sur mes sentiments, et mon ironie me protégeait de tout aveu désagréable à faire. J'avais également un sens de la répartie aiguisé, résultat de millions de soirées dansantes sur la plage, à ridiculiser les gens pour le simple plaisir pervers de leur coller la honte. Comme presque tout le monde, je me protégeais des autres avec une bonne pique bien salée. Sociable, je l'étais. Tout le monde peut être à l'aise en société, il suffit de se donner la peine de jauger l'autre et d'adopter ses codes. Rien, en soi, de difficile. D'ailleurs, comme la plupart des jeunes universitaires, j'aimais jouer. Jouer avec les corps, pas avec les sentiments. Je ne connais que trop bien les histoires d'une nuit, même si je n'en tire aucune fierté. C'est surtout pour me prouver quelque chose. Que je suis quelqu'un d'aimable, qui peut se donner sans attache, qui peut séduire tout le monde. En amitié... Ça fait longtemps que je n'ai pas de vrais amis.

    Histoire : Condenser 19 ans en quelque lignes est inaisé, fatiguant, et passablement désagréable. Je n'ai pas eu une enfance heureuse, ni une adolescence facile. Pourquoi ? Oh, c'est très simple. Je suis née d'une mère journaliste, et d'un père agent immobilier. Enfin, il paraît. Je ne le vois jamais, même si je profite de son argent et qu'on habite la même villa. Oui, il est très riche, et très absent. Toujours au boulot. Ma mère ? Morte. Ça fait des années. Comment ? On ne m'a pas dit, à l'époque. J'avais cinq ans, ma soeur huit. C'est elle qui me l'a dit, cinq ans plus tard. Cinq ans de douleur après. Elle revenait du travail, quand, le jour de Halloween, elle avait heurté une bagnole conduite par des jeunes bourrés. Les journaux en avaient parlé, mais je n'écoutais pas les informations. Ils en savaient plus que moi sur la mort de ma mère. J'avais grandi sans autre présence féminine que ma soeur, avec qui je m'étais toujours entendue comme chien et chat... Autant dire qu'on s'évitait, pour ne pas provoquer d'effusions. Aussi je passais le temps sur ma planche de surf, dans les vagues de la plage californienne. Quand je repense au cliché, ça me fait doucement sourire. Un soir, tout avait dérapé, j'ai perdu un petit ami, mon innocence, et ma soeur du même coup... Mais ça, je n'ai ni envie d'y repenser, ni envie d'en parler. Vous m'excuserez. Un gars l'a pris à part pour le tabasser, après ça... Je me souviens de la pâleur de ce gars, de sa beauté glaciale qui m'a laissée bouleversée. Je devais être très fragile.
    Pour autant, je n'ai pas arrêté le rythme effréné de ma participation aux fêtes estivales arrosées en bord de mer. Curieusement, ce rythme s'est même acceléré encore. Comme si je voulais me prouver que je pouvais séduire n'importe qui. C'est pourquoi mon père a décidé, qu'au lieu de la NYU, j'allais aller dans une université irlandaise à l'excellente réputation. Ça au lieu de l'Eavy Ligue. Au moins, il n'y aurait pas ma soeur. Jeune innocente que j'étais... Elle était de mèche avec lui ! Ou plutôt, son amant, Dave O'Hearn, l'avait convaincue de venir me pourrir la vie à Maynooth. Me surveiller... Mon dieu. À mon avis, Dave, que sa femme soupçonnait d'infidélité, y voyait une occasion de se séparer une bonne fois pour toute de ma sangsue de soeur (quoi qu'il devait bien aimer qu'elle excerce ses talents de suceuse sur une partie sensible de mon anatomie... Berk...). C'est comme ça qu'après une après midi shopping enflammée à Manhattan, une soirée en boite avec quelques copines glousseuses triées sur le volet pour leurs talents divers, j'étais parée à l'exil en Irlande. Ma soeur y était déjà, forcément... J'espérais juste ne pas la croiser trop souvent. Son espoir à elle aussi, je l'avais lu dans son journal intime. Ne pas ignorer qu'elle me déteste est une chose, le voir couché noir sur blanc dans son cahier secret, c'en était une autre. Comment ça, il ne m'appartenait pas de fouiller dans ses affaires ? À vrai dire, j'étais tombée dessus en cherchant mon stylo plume fétiche, qui ne m'avait pas quitté depuis mes huit ans. Ce qui avait attiré mon attention avait été ce cahier, posé là apparemment innocemment. Depuis quand elle ne rangeait pas ses vieux cahiers scolaires ?
    D'autant plus que mon stylo était à l'intérieur. Mais elle avait au moins un joli style d'écriture, ça, je devais le lui reconnaître.
    C'est ainsi que j'arrivais par l'avion, à l'aéroport de Dublin. Valises pleines à craquer d'accessoires et de vêtements en tout genre. Une impression de solitude fondit sur moi devant cette fraîcheur (alors qu'on était au début de l'automne !) et ces nuages parsemant le ciel. Je me sentis tirée sous terre, froide. Je n'avais aucune attache. Pourtant, j'étais quelqu"un d'ordinaire. Comme tout le monde, je regardais rue Sesame quand j'étais petite, j'avais cassé une piñata lors du dernier jour du camp de vacances où j'allais, gosse...

    Souvenir marquant: Le soleil se lève sur la côte est de la californie, et, dès sept heures du matin, emplit ma chambre d'une lueur orangée. J'émerge doucement du sommeil, et me lève sans plus me presser. Après tout, ce sont les vacances d'été ! Autant en profiter. Un rapide coup d'oeil vers le jardin en ouvrant les volets m'apprend que la mercedes de mon père ne s'y trouve pas. Il est déjà parti Dieu seul sait où. J'étouffe un soupir de lassitude, pour descendre les escaliers grinçants de la maison. Enfin maison... Villa aurait été plus approprié. Mais ni mon père ni moi n'en profitons. Moi parce que la maison m'oppressae et que je tends à la fuir, mon père... Et bien parce qu'il passe sa vie au boulot. Sa manière à lui de fuir cette maison. C'est notre seul point commun après notre petite taille et nos yeux pareillement bleus. Ma manière à moi de m'evader est d'aller nager dans la mer, ou de faire la fête jusqu'à pas d'heures sur la plage. J'ignore pourquoi, mais je suis toujours là-bas. La plage a un côté apaisant. Contrairement à la piscine de la maison. Whisper... Whisper est le nom de la mai... Villa. Whisper. Murmure. Nom bien choisi. On a parfois l'impression d'entendre des bruits - mais il ne s'agit que du vent iodé. Cependant, la vieille maison rénovée par les soins de Dave O'connor, l'associé de mon père, qui est ici plus souvent que lui, a un côté inquiétant. Plus sinistres encore le nombre effarant de morts qui s'y sont produites. Et en dernier lieu, ma mère. J'ai grandi sans elle, et plus d'une fois sa présence m'a manqué. Découvrir les joies de la féminité sans personne à qui en parler, ce n'est pas toujours facile. Parce que ce n'est certainement pas mon père, toujours absent, qui va m'apprendre à mettre un tampon. La porte s'ouvre devant moi, après que j'eus entendu les clefs tourner dans la serrure. Une épaisse chevelure blonde, des yeux verts rieurs, et ma soeur, Mary Kate, dite Katy, entre dans mon champ de vision (Mia Very Happy ).
    - Oh, un thon.
    - Toujours le mot gentil dès le matin, très plaisant.
    Jamais on n'a pu s'entendre. Elle est la fierté de la famille : belle, intelligente, diplomée... Tandis que moi, surfeuse en bikini aux notes restant volontiers dans la moyenne, j'en suis la honte.
    - Papa n'est pas là ?
    - Le jeudi ? Bien sûr que non. Monsieur travaille.
    - Pas la peine d'être aussi caractérielle, chérie.
    Un sourire mielleux accompagne sa phrase. Si je m'emporte encore une fois, elle va aller se plaindre, et se faire plaindre, dans les bras de Dave O'Connor. Bien entendu. J'ai entendu bien des fois leurs gémissements dans la chambre de Mary K, quand mon père n'était pas là, et je les ai observés plus souvent encore se peloter dans la piscine. L'enervement me monte à la tête. Je fais volteface, me dirige vers les escaliers, et le miroir me renvoie l'image d'une jeune fille ressemblant à un lion en cage.
    - La ferme !
    Je peux presque sentir les ondes négatives sortir d'elle. Juste une dispute de plus. Pas comme si on n'y était pas accoutumées. Je me demande ce qu'elle vient faire ici. L"eau de la douche coûle sur moi, et mes doigts se posent presque involontairement sur les petites griffures que je lui dois, sur mon épaule droite. C'était il y a deux ans, on s'était rendues à la même fête sur la plage. Alors que Kurt, mon boyfriend de l'époque, m'entraînait vers les bois pour... Eh bien, pour qu'on ait un peu d'intimité... On était tellement bourrés qu'on s'est écroulés sur le sable, en commençant à nous deshabiller. Ma soeur était là. Au lieu de me protéger des caresses trop poussées de Kurt, alors que je protestais, mais qu'il me maintenait sous son poids, elle l'a laissé faire. Elle nous voyait, j'en suis sûre. Nos regards se sont croisés, même si mes yeux y voyaient mal, noyés de larmes. Non, elle l'a laissé m'ôter mon soutien-gorge, triturer ma maigre poitrine, l'embrasser... Me retourner, avant d'intervenir. Elle l'a soulevé sans aucun effort. Elle fait du karaté depuis ses plus jeunes années et peut mettre KO un type deux fois plus grand qu'elle. Elle m'a attrapé l'épaule, me griffant violemmenet la clavicule, pour me relever sans aucune douceur, sous les rires des gens qui se trouvaient à proximité. Je m'en souviens comme si je venais encore de le vivre, je me souviens de son regard haineux, de nos visages se rapprochant, et de sa voix sèche et basse :
    - Tu me fais honte ! Je déteste être ta soeur, espèce de sale... De sale petite pute !
    Un mec pâle comme la mort m'avait alors prise par le bras, tandis qu'elle s'en allait, vexée et furieuse. Le gars m'était inconnu, mais ça faisait du bien de pouvoir s'appuyer sur une épaule, et j'imagine que c'est grâce à lui si je ne suis pas, aujourd'hui, traumatisée à vie des garçons. Pourtant, mes souvenirs ne devraient pas être aussi clairs, vu la quantité industrielle d'alcool que j'avais ingurgité... Plus jamais on ne s'est parlées comme avant, après ce soir-là. Le lien qui nous attachait s'est détruit, la vermine l'ayant infesté. C'était comme ça que ça se passait, dans notre petit univers californien, sans nos parents pour nous encadrer, livrées à nous seules. Même les liens du sang peuvent être les plus mauvais.


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    Portrait chinois
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    Si j’étais une couleur : Le orange. Pas sa couleur préférée, mais on ne s'aime jamais entièrement. Liberté, créativité, dynamisme.
    Si j’étais un élément : L'eau. Tantôt stagnante, tantôt pétillante, toujours imprévisible. Parfois chaude, parfois froide, selon les lieux... Ça dépendra d'avec qui est Nelly. L'eau peut devenir vapeur, presque invisible, mais impregnant les lieux.. Comme Nelly.
    Si j’étais un film :
    Si j’étais une chanson : My Immortal, Evanescence
    Si j’étais un personnage de fiction (littérature/film) :
    Si j’étais un objet : Les menottes, alors ? *SBAAAAF* Sérieusement ? Un miroir. Nelly s'adapte aux gens, à leurs tempéraments, comme un caméléon. Il est dur de connaître la vraie Nelly, celle qui traîne en jogging rose difforme le dimanche, pas maquillée, mal coiffée, en regardant desperate housewives... Parce que cette Nelly-là (nelly est là, nelly est là, tududu ? )... N'existe pas. À force de vouloir à tout prix complaire aux gens, elle s'est perdue elle-même, sans s'en rendre compte, petit à petit, tout doucement...




Dernière édition par Nelly B. Mathiews le Ven 17 Juil - 13:10, édité 1 fois
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    Comment avez vous connu le forum ? J'ai participé à sa création.
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